Horaires d’ouverture
7 mai 2015
Le musée est ouvert tous les jours sauf le lundi de 15h à 18h du 1er avril jusqu’au weekend suivant le 11 novembre.
7 mai 2015
Le musée est ouvert tous les jours sauf le lundi de 15h à 18h du 1er avril jusqu’au weekend suivant le 11 novembre.
27 avril 2015
Un livre, issu d’une exposition retraçant l’histoire des résistants de la Vienne de 1940 à 1945, est mis en vente-souscription à l’adresse de ceux qui s’intéressent à l’histoire de la seconde guerre mondiale.
5 décembre 2014
La Chauvinoise Roselyn Mazet et son frère ont fait don au musée de la Seconde Guerre Mondiale dans la Vienne à Tercé de la tenue que portait leur père durant le conflit.
24 octobre 2014
Le 19 août 1944, un groupe de maquisards attaque un camion de la Luftwaffe qui a fait halte sur la place de Chauvigny. A son bord, des instruments de musique confiés à l’harmonie municipale de Chauvigny dont un saxo perdu puis retrouvé.
24 octobre 2014
La présence de ce drapeau dans le musée est une manière de rendre hommage aux alliés britanniques qui jouèrent un rôle prépondérant au profit des réseaux de résistants et groupes de maquisards. Ce drapeau a une histoire qui a fait l’objet d’un article du Picton n°199, Janv-Fév 2010.
24 octobre 2014
Ce bureau provenait du service de sécurité et de renseignement du régime SS dont l’antenne de Poitiers était située 13, rue des Ecossais. Depuis, il était utilisé par la fédération de la Vienne du PCF à Poitiers dont le secrétaire Jean-Jacques Guérin en a fait don au musée.
23 octobre 2014
Maurice Eneau s’est évadé d’Allemagne en 1944 grâce à une boussole cachée dans un pot de confiture.
Sa fille a confié l’objet au musée.
23 octobre 2014
Huit conteneurs cachés depuis 1944 dans l’ancien atelier de menuiserie d’Amédé Gerbaud à Brigueil-le-Chantre ont été découverts récemment et donnés au musée.
13 septembre 2014
En présence de Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, une cérémonie s’est déroulée devant le monument de la Résistance au parc de Blossac à Poitiers. Les autorités civiles et militaires ont rendu hommage à tous ceux, résistants, internés, fusillés ou déportés qui ont donné leur vie pour le retour de la République et de la liberté dans notre pays.
2 juillet 2014
Déclaration préliminaire de Fernand Devaux avant son allocution:
« Avant d’entrer dans le vécu des internés, il est nécessaire de rappeler brièvement la décision de l’ouverture de ces camps, face à l’activité croissante des communistes.
Le premier camp ouvre à Aincourt dans le Val d’Oise.
Le 30 septembre 1940, le chef de la Police de sécurité du Reich envoie le télégramme suivant à Berlin : « Tous les chefs communistes actifs, connus et fonctionnaires dont on peut attendre que, directement ou indirectement, ils puissent rédiger et distribuer des tracts ou puissent être actifs d’une autre façon, doivent être arrêtés et transférés dans un camp. Le projet a été discuté avec l’ambassadeur Abetz qui a donné son accord à condition que les arrestations, le transfert dans le camp, la surveillance, le ravitaillement soient effectués par les autorités françaises ». Le 3 octobre, le chef de la gestapo Muller lui répond : « Après l’entretien avec le Führer, l’ober Muller ne s’oppose pas aux propositions de la police parisienne sur les mesures à prendre, mais il faut s’assurer :
1-Qu’on épargne nos indicateurs
2-Que les listes des arrêtés soient obtenues
3-Que le matériel soit examiné et que tout ceci soit très discret. Il faut nous informer du succès ».
Les nazis vont donc tenter de ne pas apparaître dans la répression. C’est Vichy qui s’en charge. Pétain va utiliser le décret de septembre 1939 qu’il a aggravé le 2 septembre 1940 ».