Nos publications

Le journal de Salomon Rakowicz

28 décembre 2020

Polonais de confession juive émigrés en France dans les années 1920, naturalisés français en 1932, les Rakowicz se sentent menacés à Paris en 1941 et décident de partir en zone non occupée. Après un long périple, ils arrivent à Lussac-les-Châteaux (Vienne) où un fils, Salomon, s’enrôle dans le maquis Masier. Son père est une victime civile du combat du 25 juillet 1944.

Itinéraires Juifs Maquis Résistance

Geneviève Pauquet – Auschwitz matricule 31794, une des deux survivantes des 230 femmes résistantes du convoi du 24 janvier 1943

23 mai 2015

Geneviève Pauquet, est née en 1922 en Pologne. Elle arrive avec ses parents ouvriers agricoles en 1927 dans la région parisienne.
En 1942, elle travaille dans une petite entreprise de postes radio à Paris. Son patron qui répare des postes émetteurs pour la Résistance est dénoncé. Elle-même, qui les livrent, est arrêtée par la Gestapo le 7 novembre 1942.
Depuis 2000, elle réside à Poitiers.

Itinéraires Résistance

André-Louis Bernard (1921-2002) du commando KIEFFER – Barettes « engagé volontaire », « Norvège », « mer du nord », » Manche », « Allemagne » et « Libération »

5 juin 2014

La ville d’ Ouistreham a été choisie en 2014 pour commémorer le 70 ème anniversaire du débarquement. Léon Gautier, camarade de combat d’André – Louis Bernard et les 10 autres survivants du « 4 commando » de Kieffer rappelleront les faits de cette historique journée du 6 juin 1944.

Itinéraires Les Forces Francaises Libres

Georges Angéli, un exemple de résistance à Buchenwald

1 octobre 2011

Georges Angéli, bien que pacifiste par nature, s’engagea le 18 juillet 1939 pour trois ans. En septembre éclata la « Drôle de guerre » puis vint la débâcle. Il fut embarqué pour l’Algérie sur le « Champollion ». Au cours de la traversée, il apprit le 23 juin 1940 le « cessez le feu ». Il devint alors selon son expression « militaire civil » pour terminer les deux ans de son engagement. De retour en France, il fut requis par l’organisation Todt à la Pallice en septembre 1942. Il déserta de ce travail obligatoire en avril 1943 et devint clandestin comptant rejoindre les forces combattantes par l’Espagne. Il fut arrêté le 7 mai 1943 et déporté à Buchenwald du 28 juin 1943 au 26 avril 1945. Il termina sa vie à Châtellerault et décéda en 2010.

Itinéraires Réfractaires Résistance