Des résistants de la « Manu », victimes d’une terrible répression 1941-1944
9 décembre 2014
Jusqu’à la libération de la manufacture, la répression sévit sans répit à l’encontre des résistants, souvent au prix de leur vie.
9 décembre 2014
Jusqu’à la libération de la manufacture, la répression sévit sans répit à l’encontre des résistants, souvent au prix de leur vie.
9 décembre 2014
Dès octobre 1940, une quarantaine d’ouvriers refusent l’occupation et la collaboration et forment l’un des premiers embryons de la résistance locale.
9 décembre 2014
Du 13 octobre 1942 au 15 mai 1944, la « Manu » fournit le plus fort contingent de requis du département, devenant le foyer d’une mobilisation collective inédite.
9 décembre 2014
Dans l’usine occupée, la collaboration industrielle avec l’Allemagne impose une réorganisation de la production et des conditions de travail qui placent le personnel sous tension.
5 juin 2014
La ville d’ Ouistreham a été choisie en 2014 pour commémorer le 70 ème anniversaire du débarquement. Léon Gautier, camarade de combat d’André – Louis Bernard et les 10 autres survivants du « 4 commando » de Kieffer rappelleront les faits de cette historique journée du 6 juin 1944.
7 novembre 2013
L’appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle depuis Londres a certainement eu une forte influence sur le comportement de mes compatriotes qui étaient encore sous le choc de la défaite. Vivant la situation créée par l’occupant, ils seront appelés ultérieurement à réagir et envisager la libération de notre territoire ; pourtant peu d’entre nous eurent la chance d’entendre ce message du général de Gaulle qui fut bien le déclencheur de la Résistance intérieure et permit de faire connaître l’existence d’une France qui n’abdiquait pas et réclamait le soutien des patriotes tant à l’intérieur du pays qu’à l’étranger.
24 juin 2013
Lors du salon du livre de la 2ème Guerre mondiale le 8 mai 2013 à Tercé, Monsieur Jean-Marie Augustin professeur honoraire d’histoire du Droit à l’Université de Poitiers apporte, au cours de sa conférence, les preuves irréfutables de la collaboration de la presse locale avec l’occupant.
8 février 2013
En empruntant la rue Charles Dubois à Montmorillon les maisons sises aux numéros 10 et 24 portent d’insolites inscriptions, délavées par le temps, qui attirent cependant l’attention.
DP abri N° 46, 20 personnes et DP abri N° 47, 25 personnes.
Pendant la deuxième guerre mondiale, les caves de ces maisons avaient été recensées par la Défense Passive, ce qui explique les initiales DP, afin d’accueillir les habitants du quartier pour les protéger d’éventuels bombardements aériens .
13 septembre 2012
Après la débâcle de 1940, l’armée allemande regroupa dans des frontstalags, camps spéciaux en France, les soldats africains ayant servi dans l’armée française. Ils étaient gardés par des unités spéciales : les landesschützen-bataillone.
10 juin 2012
Le 25 juin 1940, L’Armistice Franco-Allemand tirait le rideau sur l’une des plus terribles défaites de la France. Les termes de l’acte imposé par les vainqueurs consacraient leur occupation des 2/3 du territoire Français, divisant le pays en une zone occupée par les troupes allemandes et une zone non occupée, dite « zone libre », laissée à l’administration du gouvernement français mis en place par le maréchal Philippe Pétain début juillet 1940. Les deux zones étaient séparées par une vraie frontière, nommée ligne de Démarcation, qui allait, d’est en ouest de la Suisse vers la Touraine puis du nord au sud, de la Touraine à l’Espagne. Dans la Vienne, elle arrivait d’Indre-et-Loire à la Haye Descartes, puis suivait la rivière « La Creuse » jusqu’à La Roche Posay. Ensuite elle traversait le département de la Vienne par Pleumartin, Archigny, Bonnes, Jardres, Tercé, Dienné, St Secondin, Saint-Martin L’Ars, Mauprevoir, entre autres communes , en tout, 17 communes dont 9 avec le chef-lieu en zone non occupée, (Z. N. O.)